Droit de visite et de garde2023-02-19T19:41:03+01:00

Droit de visite et de garde des enfants

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Vous souhaitez organiser votre droit de visite et d’hébergement de vos enfants ? Le principe est la liberté d’organisation. Mais attention il existe des règles élémentaires à respecter dans l’intérêt supérieur de vos enfants.

Voyons ensemble comment réorganiser votre vie avec ou sans médiation et avec une bonne protection juridique afin d’assurer la plus grande sérénité dans votre vie de famille.

Les régles élémentaires en matière d’organisation du droit de visite et de garde

Pour info, la séparation entre un père et une mère est par principe sans aucune incidence sur la fonction de l’autorité parentale. L’autorité parentale est confiée aux pères et aux mères, sauf exceptions en cas de violences conjugales à Salon de Provence. L’objectif est de permettre à chacun des deux d’entretenir des relations personnelles avec leur enfant indépendamment de l’autre parent, avec ou sans médiation.

Le Code civil parle d’ailleurs de garantir la continuité et l’effectivité du maintien des liens, d’où l’importance de recourir à une bonne protection juridique avec un cabinet d’avocats divorce à Nîmes, séparation et garde exclusive en cas d’une ordonnance de non-conciliation.

En découle le choix concernant les résidences des enfants d’un couple devant la loi (tribunal ou convention divorce amiable).

D’après le Code civil, en découle également de la procédure de divorce à Marignane concernant les modalités d’exercice des DVH et hébergements des pères et des mères qui n’ont pas la résidence habituelle des enfants. Un cabinet d’avocats divorce vous sera d’une aide précieuse si vous avez besoin d’un médiateur dans votre situation !

À défaut d’accord entre le père et la mère, seul le JAF est compétent pour fixer les résidences.

Pour info, le JAF statue toujours dans l’intérêt de l’enfant pour fixer les résidences soit en alternance soit au domicile de l’un ou l’autre des parents via un jugement près de Lamanon.

Attention, la fratrie ne doit pas être séparée. En effet, il est de l‘intérêt de l’ensemble des enfants près de Charleval d’être avec leurs frères et sœurs.

Vous devez choisir un bon auxiliaire de justice à Salon de Provence pour la défense DVH qui incombe à votre situation !

Il est de la responsabilité d’un avocat divorce et séparation de corps à Nîmes de représenter et défendre les intérêts de ses clients. Un auxiliaire de justice travaille dans divers domaines du droit, tels que les affaires, le pénal, l’immobilier, le fiscal et le travail entre autres.

Le rôle de l‘avocat divorce et pension alimentaire à Arles consiste à conseiller ses clients, à négocier des accords, à préparer et à réviser des contrats, à représenter ses clients devant le tribunal et les organismes administratifs et à plaider leur cause.

Dans le cadre de la pratique d’un avocat divorce et autorité parentale, un auxiliaire de justice près de la ville de Mouriès offre également des services de consultation juridique, d’analyse de risques et de planification stratégique pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs personnels dans un environnement judiciaire en constante évolution.

En fin de compte, en tant qu’avocat divorce, non-paiement PA et garde exclusive, l’objectif est de fournir des conseils juridiques de qualité, de protéger ses clients et de trouver des solutions juridiques efficaces pour résoudre les problèmes qui se posent.

droit de visite

Les différents modes de droit de visite et de garde

Le DVH et de garde en matière de résidences alternées est particulier. Il s’agit d’avoir un domicile partagé entre le père et la mère et l’une des manifestations d’une coparentalité effective.

Il n’y a donc pas de résidences habituelles ni de DVH près de Saint Etienne du Grès pour un des parents. De manière générale, les alternances doivent être égalitaires à savoir une semaine sur une semaine. Ou bien 15 jours sur 15 jours.

Par exception, les gardes alternées peuvent être d’un temps inégalitaire à savoir deux jours, quatre jours, une semaine, 10 jours…

Le Magistrat peut même ordonner une période probatoire ou dite provisoire. Et ce, avant de statuer définitivement sur l’application des résidences alternées.

Cela peut être à l’essai pendant une année scolaire par exemple.

Il faut toujours que les résidences alternées soit claires pour les enfants.

Elles ne doivent pas être instables ou manquées de sécurité pour un enfant qui perd toute stabilité dans son cadre de vie. Un avocat divorce et séparation peut vous aider pour la décision d’un jugement.

Les conditions de la garde alternée près de la ville de Maillane

Pour accorder les gardes alternées, le juge se fit souvent à la proximité du domicile des parents. Il peut aussi vérifier la disponibilité professionnelle de l’un ou l’autre des parents.

Comment faire en cas d’emploi du temps variable ou d’un emploi du temps avec des heures difficiles. La mise en place d’une garde alternée avec recours à des assistances type nourrice ou grands-parents est possible.

Il n’existe pas d’âge pour fixer les résidences alternées. Pour autant, en pratique, le JAF patiente généralement jusqu’aux trois ans révolus de l’enfant pour l’accorder.

Attention un trop grand conflit parental et de vraies tensions ou animosité entre les parents exclus la garde alternée. Les juges estiment que la mise en place de résidences alternées serait trop insécurisante pour les enfants.

En 2016, il est répertorié plus de 400 000 enfants vivaient sur le mode des résidences en alternance. Ils sont majoritairement issue de couple séparé par jugement ou par procédure de divorce par consentement mutuel.

Les parents ou le Juge aux affaires familiales peuvent décider que les enfants auront une résidence classique et habituelle chez l’un ou l’autre des parents et qui pour entretenir contact avec le père ou mère par un droit de visite et d’hébergement la résidence est toujours décidée dans ce cas en fonction de l’intérêt de l’enfant et le lieu d’habitation est un critère déterminant. 

Ainsi un juge refuse de donner une résidence à un père ou à une mère s’il n’y a pas de domicile fixe ou à un domicile bien trop petit.

 Il peut aussi refuser de donner la garde totale à un enfant si il a des déplacements professionnels trop fréquents.

Il peut également refuser de la donner en cas de troubles psychologiques, dépression, alcoolisme, d’un enfant, d’un parent ou de relations bien trop conflictuelles avec le parent mettant les enfants dans un sentiment de crainte et d’insécurité. 

L’application dans la pratique du droit de visite et de garde

En pratique, le droit de visite et d’hébergement doit toujours s’appliquer à défaut de meilleur accord des parents.

Tout d’abord, il est souvent réglementé une fin de semaine sur deux soit les fins de semaine paire ou impaire. Par exemple, première troisième et cinquième fin de semaine de chaque mois. 

Ensuite, il est partagé avec la moitié des petites et des grandes vacances en alternance sur les années impaires et les années paires. 

Il existe parfois une coupure au milieu de la semaine à savoir le mardi soir ou mercredi soir ou la journée du mercredi.

Enfin, il est toujours conseillé de préciser avec le plus de détail possible les jours de récupération, les heures et le mode de fonctionnement de l’alternance.  Cela évite toute difficulté lors de l’application pratique des droits de visite et surtout en cas de désaccord entre les parents. 

Les parents ainsi que le juge sont relativement libres de prévoir des droits de visite et d’hébergement et des partages de temps de résidence de manière variable tant que l’enfant n’est pas mis en l’insécurité ou en instabilité.

Il est toutefois recommandé de ne pas changer trop fréquemment par exemple par des droits de visite saccadée de un jour ou deux pour que l’enfant puisse s’y retrouver.

En effet, parfois, le droit de visite peut être conditionné à son exercice dans un lieu, ou en présence de certaine personne.

Cela dépend aussi de la capacité matérielle du parent à loger ou à accueillir l’enfant. 

Dans des cas réduits, le droit de visite s’exerce dans le cadre d’un espace de rencontre. C’est le cas lorsqu’il y a un conjoint violent PN.

Cette demande doit être particulièrement motivée et accompagnée de preuves des risques et des craintes de l’exercice d’un droit libre.

C’est de manière habituelle le titulaire du droit de visite qui doit aller chercher l’enfant et le ramener.

Mais cette charge financière et matérielle peut être partagée entre les deux parents.

Il peut y avoir également des partages de frais ordonné par le juge.

Le JAF préfèrent une remise directe et éviter la remise en point rencontre où en lieu public.

Toutefois, elle peut s’imposer dans certains cas en cas de risque de dangerosité lors de la remise de l’enfant. 

Elle s’ordonne de plus en présence d’un tiers de confiance.

Aucune sanction n’existe pour un père ou une mère qui n’exerce pas son DVH. 

Toutefois, les pères ou les mères qui n’exercent pas leur droit peut voir la pension alimentaire augmenter et se voir sur les prochaines décisions ordonnées une suppression totale de leur droit compte de son désintérêt auprès des enfants.

La suppression du DVH n’est pas facile. 

Elle nécessite une motivation particulière avec des preuves démontrant des motifs grave quant à la continuité de ce droit. 

Le Juge aux affaires familiales retient souvent les pressions morales ou psychologiques exercées sur un enfant.

  • L’alcoolisme d’un parent
  • des risques d’enlèvement d’enfants
  • la prise de décision grave lors de droit de visite sans jamais en informer l’autre parent
  • des conditions d’hébergement inadapté
Tout d’abord, tout parent doit tenir informer l’autre de son intention de déménager. C’est le cas notamment lorsque le déménagement a des incidences sur l’exercice de l’autorité parentale et des droits de visite.

Ensuite, si un des parents n’est pas en accord avec le déménagement et les modifications que cela engendre sur ses droits, il lui appartient de saisir le Juge aux affaires familiales.

En pratique, lorsque des frais sont générés par le déménagement pour le déplacement des enfants, le Juge aux affaires familiales réajuste le niveau de la pension alimentaire.

Enfin, il est à noter que des sanctions peuvent être infligées à l’autre parent qui déménage sans en avertir le parent concerné. C’est la cas lorsque le déménagement s’analyse comme une volonté de fuite ou de couper l’enfant des relations parentales.

Le Juge aux affaires familiales peut ordonner un transfert de résidence et refuser que l’enfant suive le parent qui déménage en justifiant la nécessité de la continuité de vie et de ne pas le déraciner.

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